Abraxas a écrit :Ah si c'est pas très fiable : j'ai simulé ma consommation de quand j'avais 15 ans, qui était beaucoup plus à risque qu'aujourd'hui (limite coma plus d'une fois), résultat du test --> 8, aujourd'hui je bois plus régulièrement, mais moins "jusqu'à la mort", et aussi moins seul, résultat --> 17 .
'fin pour moi, ce côté là du test est normal. Vu que l'alcoolisme s'installe plus sur la durée que sur la quantité.
Et justement le côté "ne pas boire tout seul, ce n'est pas de l'alcoolisme", c'était un des pièges que l'alcoologue nous avait pointé. Elle disait que trop souvent, ses patients se réfugiaient derrière ça pour ne pas s'avouer alcoolique.
Abraxas a écrit :Je dis pas, le test peut servir de "base" de questionnement et peut même être relevant sous certaines conditions.
Ah mais de tout façon, aucun test ne pourra jamais évaluer une consommation alcoolique avec certitude. Et oui, je pense que ça sert plus de base à un questionnement. Quitte à en parler avec son médecin si on a des doutes pour être sûr que tout va bien.
Le test, il reprend juste les points phares de l'alcoolisme : la perte de contrôle, le besoin du premier verre à cause du syndrome de sevrage, la quantité... Après j'imagine que tout le monde interprète la question à sa façon et c'est ce qui biaise le test.
Abraxas a écrit :Maintenant quid de la génétique ? On est pas égaux face à l'alcool.
La corpulence ? Le pourquoi ? Le comment ?
Oui. Même si au niveau de la génétique on est sûr de rien.
Le seul point qui est un facteur de risque objectif à l'alcoolisme, c'est le fait de tenir à l'alcool. Plus on tient à l'alcool, et plus on a de risque d'être alcoolique.
Le reste, on est sûr de rien.
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