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Autrefois champion mythique de judo, Sze-to a depuis longtemps abandonné le monde du sport de manière inexplicable.
Criblé de dettes, il s'est désormais bâti une triste réputation d'alcoolique sans aucun avenir.
Seul Tony, passionné de judo, et Mona , apprentie chanteuse, vont lui redonner l'envie de se battre....

Après PTU et Breaking News, Johnnie To réalise des films plus iconoclastes, qu'il est aujourd'hui le seul à imaginer et à metre en images. Film hommage au maître Akira Kurosawa et à son premier film La Légende Du Grand Judo, le trio d'acteurs glamour évolue dans une intrigue faite de combats, d'espoir et de volonté. Une nouvelle maestria visuelle qui sacre Johnnie To comme le meilleur cinéaste Hongkongais

Un soir, le sergent Lo se fait voler son arme.
Un officier de la police Tactical Unit, une unité spéciale de Hong Kong, promet de la lui rapporter avant la fin de la nuit et part à sa recherche avec son équipe.
Dans une ville vidée de ses habitants, la chasse est ouverte....

Johnnie To renoue ici avec le polar urbain qui a fait la grandeur du cinéma de Hong Kong. Dans des rues nocturnes, le cinéaste organise une narration pleine de suspense, riche en personnages forts et qui trouvera sa résolution dans une scène d'action finale magistrale.
Avec une mise en scène stylisée, PTU s'enfonce dans la nuit Hongkongaise où s'animent flics marrons et membres de triades.

Monsieur et Madame To, deux voleurs mariés se disputent le partage d'un butin et divorcent. Elle, épouse un fils de bonne famille dans l'espoir de voler le collier de sa mère. Mais lui, convoite aissi le bijou.... Le couple échafaude des plans et des pièges et compte les points. Dans cette course du chat et de la souris, tout n'est que bluff, mensonges et travestissements.

Jamais Hongkong n'a été filmée de manière aussi glamour ! Entre comédie policière à la manière de La Main Au Collet de Alfred Hitchcok et travail d'artisan habile sans fausses notes, Yesterday Once More rend un hommage explicite aux comédies romantiques policières des années 60-70.
Andy Lau et Sammi Cheng sont ainsi partenaires, éternels amants ou figures doubles, dont la distinction de sexes importe peu.

Sur un champ de bataille, la petite Quincheng en quête de nourriture se trouve face à la déesse Manshen qui détient la carte du destin.
Elle aide l'enfant, mais lui impose un pacte : "Tu seras adorée par les hommes les plus puissants, et leurs richesses seront à tes pieds. Mais tu n'obtiendras jamais l'amour vrai et si tu le rencontres, tu le perdras aussitôt."
Devenue Princesse, Quincheng ne peut influer sur le cours de son destin qui la condamne à ne jamais vivre le véritable amour. Elle ne le reconnaît pas alors qu'il se présente sous les traits d'un ancien esclave, Kunlun.
Il tentera de la délivrer de sa promesse car selon la prophétie de la déesse, "le destin ne peut être changé à moins que le temps n'inverse son cours, que la rivière coule vers sa source et que l'homme mort ne ressuscite."
Mais, au pays des légendes et de l'amour éternel, tout est possible.

Un prequel élégant et complexe, qui appronfondit le duel original...

Hong-Kong 1991. Kwun, le parrain des parrains est assassiné. A la surprise générale, son fils Hua, décide de reprendre les affaires avec le soutien de Sam. Redoutant une guerre des gangs sanglante l'inspecteur Wong (Anthony Wong ) se prépare à infiltrer la triade via Yan un jeune policier...Parallélement, afin d'épier Wong, Sam infiltre la police au moyen de sa taupe Ming.....

Prologue du désormais culte Infernal Affairs, ce 2éme opus de la trilogie, puissant et passionnant, nous dévoile enfin comment l'extraordinaire combat entre ces deux taupes a commencé.

Le film est énervant de naïveté, on ne croît pas une seconde aux personnages et à l'histoire d'amour qui arrive trop rapidement et laisse la psychologie des personnages au vestiaire. C'est donc par les paysages que l'on est finalement subjugué et transporté. On ne ressent vraiment rien devant tant de clichés accumulés, on s'endort

Ching Lee, une ancienne star approchant la quarantaine, est décidée à retrouver sa beauté d'antan pour reconquérir son infidèle mari. Elle s'adresse alors à Mei, une cuisinière charismatique qui a pour spécialité les jiaozi, raviolis à la vapeur typiques de la cuisine chinoise. Vendus à prix d'or, les jiaozi de Mei, à l'étrange éclat rosâtre, sont réputés pour leurs vertus rajeunissantes.
Ching, prête à tout pour retrouver sa jeunesse, ne se soucie guère de connaître les ingrédients de la recette secrète de Mei. Quitte à en payer le prix fort plus tard...

Quel déception, je me suis ennuyée

Un chef de gang suspecte sa petite amie Hee Su d'avoir une liaison avec un autre homme. Il demande à son bras droit, Sun Woo, de suivre Hee Su et de l'éliminer s'il la surprend en galante compagnie.

Un film où plane le fantôme de John Woo (époque The killer, A toute épreuve, Une balle dans la tête), de part la virtuosité de la narration et de sa mise en image/en abîme, l'atmosphère et les nombreux clins d'oeil au western "sauvage" façon Sam Peckinpah, tout ceci au service d'un polar maitrisé où se mèle romantisme, brutalité, honneur et vengeance. Porté de bout en bout par l'acteur Byunf-hun Lee sobre et implacable à la fois en ange exterminateur, et saupoudré d'un humour noir qui rappelle les débuts de Quentin Tarantino, dont le Reservoir Dogs pourrait être ici une influence assumée durant quelques scènes. Quant à la musique non-dépourvue d'un certain lyrisme, elle ne fait qu'ajouter une dimension supplémentaire à ce qui devient au final une grande tragédie moderne. Un film phénomenal à voir impérativement (en VOST) si toutes les références citées au dessus vous parlent!...

Dans un futur proche, afin de parer la délinquance dans les lycées, un certain nombre d’étudiants sont sélectionné par tirage au sort, puis drogués et emmenés dans une île, pour participer au « Battle Royale ».
Ce jeu, expliqué par un professeur devenu chef instructeur nommé Kitano (Takeshi Kitano), consiste à s’entretuer entre étudiants selon des règles bien précises :
Les étudiants ont trois jours pour s’entretuer, au-delà de ces trois jours, il doit n’en rester qu’un, si n’est le cas, toute personne encore vivante est abattue, par l’explosion d’un collier qui leur à été placé autour du coup. Celui-ci, indestructible, peut être activé, soit par télécommande, soit lorsque la personne reste trop longtemps dans une zone « dangereuse ». Très vite, les étudiants saisissent l’enjeu de Battle Royale (tuer pour survivre et être le dernier) et donc les premiers affrontements arrivent. Des groupes vont s’organiser pour tenter de survivre à ce terrible jeu...

Ah, B-J, tu as vu "Lady Vengeance" au fait ? De Park Chan-Wook, le réalisateur de "Old Boy". Je l'ai déjà vu mais je voudrais juste savoir ton avis Il parait que Old Boy est beaucoup mieux... Rah, faut vraiment que je songe à voir ce film.

Sing, un prétendu gangster, doit surmonter son incapacité à manier le sabre et démontrer qu'il a toutes les qualités requises pour appartenir au prestigieux gang de Axe.
Dans le même temps, ce gang veut régner en maître sur le territoire le plus convoité qui est en fait une rue sacrée protégée par une bande de personnages hauts en couleurs. La plupart d'entre eux sont des maîtres du kung fu déguisés en personnes ordinaires.
Après plusieurs rencontres avec des voyous et une véritable brute connu sous le nom de "The Beast", Sing parvient à vaincre ses handicaps et réalise qu'il est devenu l'un des plus grands maîtres de kung fu destiné à protéger la rue sacrée.

Stephen Chow redonne un sens au mot cinéma avec ce mixe délirant entre western spaghetti italien, comédie musicale hollywoodienne, les cartoons de la Warner et humour frappadingue.....

Tsuda est un homme d’affaires stressé par son boulot et menant une vie sentimentale se limitant à la vision de films à la télé à côté de son épouse, avachi dans son fauteuil. Sa rencontre avec un ancien camarade de classe, Kojima, qui pratique la boxe en club, va bouleverser sa vie et réaffirmer son moi profond…

On pourrait épiloguer des heures sur cette atmosphère énigmatique, pesante, électrique. Hélas, trop statique, le film n'évolue guère. Et la furie poétique, au final, lasse plus qu'elle n'envoûte.

Aoyama, 42 ans, est producteur de films. Sa femme est décédée il y a sept ans, mais il vit toujours sa disparition avec difficulté.
Un jour, suivant les conseils d'un vieil ami, Yasuhisa Yoshikawa, il décide de se remarier et organise une audition pour une série télévisée fictive afin de trouver sa nouvelle compagne parmi les candidates. La dernière à se présenter, Yamazaki Asami, est une jeune femme d'une troublante beauté. Aoyama en tombe instantanément amoureux. Il la rappelle et dîne en tête à tête avec elle.
Quelques jours plus tard, Aoyama lui téléphone à nouveau. Yamazaki est chez elle, prostrée dans l'obscurité. Elle est seule ou presque. Commence alors pour Aoyama une plongée vertigineuse dans un enfer sanglant, dont les retombées seront excessivement douloureuses.