EDForum

Vala, j'aimerai savoir si vous auriez des solutions pour faire arreter quelqu'un de boire. je pense que dans ce cas precis, c'est veritablement de l'alcoolisme: être bourré des 18h 6 jours sur 7. Bien sur, ya pas moyen que cette personne fasse de la desintox, ni qu'on fasse du social avec elle

Il doit y'avoir des methodes pour toucher la personne pour qu'elle reduise sa consommation non? ou alors c'est impossible vu que c'est une drogue, elle devient accro?

Mici

pourquoi n'y a-t-il pas moyen de lui faire faire une cure de désintox ?
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Va motiver quelqu'un a faire une cure de desintoxication tu verras si c'est facile, surtout si la personne ne se considere absolument pas comme malade. Tu peux jamais forcer quelqu'un a se soigner, a part si a cause de sa maladie, elle a mis la vie d'autrui en danger ou la sienne, et encore, en tant qu'adulte elle fait ce qu'elle veut!

oki, je voulais saisir le contexte...



je ne connais pas de personnes dans un entourage proche qui soit compétante dans ce domaine ou qui ai été confronté à ton problème.

mais je me renseigne et je te dis...
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C'est bien là le problème
Peut être que la solution peut venir de là: faire comprendre qu'il ne faut pas attendre que le pire se produise pour changer
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Lui faire prendre conscience de son etat, et surtout espéré qu'il admette cet état, moi j'ai arreté la came quand j'ai vu ma mere souffrir et les gens autour de moi désespéré et commencer à s'éloigné? Puis l'amour et l'aide de mes amis et la rencontre avec Manon a tout changé.

Mais il faut cette prise de conscience.

Ça m'a paru évident tout de suite, enfin je connais le problème, sauf que ce n'est pas de l'alcoolisme.
Et malheureusement Meryl, je serais mal placée pour te donner de bons conseils parce que je n'ai pas du tout évolué depuis mon dernier post sur le sujet

Mais je suis de tout coeur avec toi, je sais à quel point il est difficile de voir plonger ceux qu'on aime dans une spirale où il est difficile de se sortir

Moi aussi je ne peu que t'offrir mon soutient, mais c'est avec le plus grandplaisir que je te l'offre

gros et courrage, je suis de tout coeur avec toi

Comme Sam je dirais que tant qu'il n'y a pas une prise de conscience de son état et une volonté de s'en sortir propre à la personne, tu ne pourras rien faire du tout

Pour l'instant à part être là pour cette personne et essayer de l'aider à avoir le déclic de cette prise de conscience il n'y a pas grand chose à faire


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Je suis désolé aussi de dire, que si cette personne refuse d'avoir ce déclic, tu ne peux prendre sur toi ce fardeau, si a un moment donné, tu ne te sent plus en etat d'assister cette personne, tu dois l'abandonner afin de respirer et de vivre ta via avec tes problèmes. Ce qui n'empechera pas de surveiller cette personne de loin et de revenir a elle si elle prend conscience de son etat et demande de l'aide.

L'abandon peut aider a prendre conscience, réfléchir, grace a une simple question: "Pourquoi suis-je seul a présent."

Faut lui faire prendre conscience que son entourage compte sur lui ou elle. Voire mettre cette personne en situation, c'est à dire, soit il arrête, soit il risque de perdre des gens de son entourage.
Comme dit Sam, faut la prise de conscience, c'est arrivé dans mon entourgae et bon je croise les doigts.

tout à fait d'accord, et c'est là tout le problème; la personne ne se considère pas malade...

Tu peux essayer de raisonner cette personne, mais généralement, ça n'aura aucun effet si tu ne fais pas en sorte de te rapprocher d'elle - il faut que tu comprennes ce qui fait qu'elle s'auto-détruit pour qu'une sorte de confiance s'établisse entre vous, que cette personne sache qu'elle a quelqu'un sur qui compter (en même temps, ce n'est pas une affirmation universelle, seulement la réaction que j'ai adoptée et qu'a adopté ma famille)

Le truc à ne pas faire, c'est tomber dans l'indifférence et le mépris, laisser la personne dans son coin en se disant que finalement, elle est responsable et sait ce qu'elle fait; c'est bête, mais celui qui boit le fait certainement parce qu'il n'a pas le courage de demander de l'aide...

Evidemment, ça n'est pas facile, on va t'envoyer dans le mur à plusieurs reprises, seulement, l'attention dont tu feras preuve te feras toujours marquer des points, il faut que tu montres à cette personne que tu veux qu'elle s'en sorte pour qu'elle en ait envie elle aussi (ça sonne très cliché, mais je n'y peux rien )

Je ne sais pas quoi te dire de plus, si ce n'est que si la personne concernée ne croit pas en la gravité de ses actes, ayant perdu un de mes proches à cause de l'alcoolisme, je sais que si l'on peut en revenir, les conséquences ne se font ressentir que bien plus tard, qu'il ne faut pas croire que c'est un mal "temporaire", que s'agissant d'une dépendance, l'issue n'est jamais bien glorieuse si l'on ne l'éradique pas au plus vite...

Comme les autres, je dirai qu'il faut que cette personne arrive à prendre conscience de son état.
Tu peux essayer de l'y aider, mais c'est pas évident, c'est pas sur que t'y arrives

Et je rejoins assez Sam sur le fait que si tu n'y arrives pas et si ça dsevient trop dur pour toi, tu devras te détourner de cette personne (pas facile non plus c'est clair) pour te protéger et pouvoir xontinuer ta preopre vie sans te laisser détruire par la sienne.

très dure situation, je te souhaite plein de courage et je te soutiens moralemnt
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Malheureusement, je ne peux qu'appuyer ce qu'on dit les autres...

L'entourage ne peut pratiquement rien faire, tant que la personne ne se sent pas en danger ou malade.

Et je t'en parle de façon personnelle, je suis jeune certes, mais j'ai "été" alcoolique à un certain niveau. Moi je n'étais pas bourrée dès 18h... En fait, je n'étais presque jamais "bourrée". Mais pendant plus de 2 ans, j'ai bu pratiquement 1à 2 litres de vodka ou de rhum par jour... Je travaillais la nuit, et l'alcool était gratuit. C'était même un mode de vie. J'ai mis du temps avant de comprendre que je me faisais du mal. Ma famille s'inquiétait, mes amis s'inquiétaient. Mon entourage proche tentait de me faire comprendre que c'était vraiment mauvais, mais je persistais à dire que tout allait bien. De plus, boire autant et pas avoir de sensation de gueule de bois, ne m'inquiétait pas. Il fallait que je boive de plus en plus pour avoir un minimum d'effet, c'était assez effrayant.

Mais avec le recul, je me suis rendue compte de pleins de points négatifs, je perdais beaucoup de capacité de concentration, de mémoire (j'ai toujours eu une mémoire très précise des choses, et là j'oubliais tout au fur et à mesure, genre :" tiens mais j'ai fait quoi hier/avant-hier/ il y a une heure???), j'étais de plus en plus souvent malade (très mauvaise immunité) , je dormais mal, et je grossissais comme pas permis. Bref, trop bien.

Un jour, je me suis regardée dans la glace, et ça m'a paru évident. Je ne pouvais plus continuer comme ça. Par volonté, et grâce à mon entourage. J'ai réussi à arrêter.... mais bon, j'ai mis 6 mois, et ça a été dur, voire très très dur. Mais bon, maintenant, ça va mieux.

Ce que j'en retire, c'est qu'il est important de montrer à cette personne que tu t'inquiètes pour elle. Sans toutefois la juger. Lui demander ce qui la pousse à boire autant, pourquoi elle boit.
Moi, je me demande quand même, depuis combien de temps cette personne est dans cet état .

(c'était la minute de "alcoolique anonyme" "Bonjour tout le monde, je m'appelle Lia"
"BONJOUR LIA" (en choeur) )
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Désolé

Moi aussi je cherche sans trouver une espèce de solution ...

Pareil que tous les autres, prise de conscience, problème a priori insoluble ...

Il reste l'espoir, je suppose ...
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Je suis à 100pour100 d'accord avec sam. Essaye peut étre de lui faire faire des activiter genre du sport, enfin lui trouver quelque chose à faire qui ne lui fait plus penser à l'alcool
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il serait interessant de savoir pourquoi cette personne boit.. raison personnelle, problème dans sa vie ? manque de confience? L'amenner à parler de ce problème et ne pas hesiter à la pousser, à la bousculer si tu as penses savoir pourquoi elle a un problème lui dire même si elle ne te le dit pas ça provoquera une réaction chez elle. ...
La concidérer comme une alocoolique et lui dire que son comportement te fais souffrir. Ne pas lui proposer de l'aider tt de suite, mais la pousser à te parler, en posant des questions, tu verras bien ce que ça donne...
J'avais une amie comme ça dans ce cas, et la seul chose qui lui a permis de s'en sortir c'est que tous ses amis lui parlait comme à une alcoolique..; aubout d'un momoent ça lui a fait un electrochoc et elle a accepter.
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Merci tout le monde, j'ai lu toutes vos réponses avec un grand interet C'est grave quand meme le nombre de gens qui ont eu des comportements d'auto destruction

Je crois qu'en suivant vos conseils, je sais ce qu'il reste a faire ^^ , mais c'est pas facile lol

Merci

J'ai un exemple dans ma famille très proche .... on dirait un vrai clodo .... il est diabétique et prend ses comprimès a coup de rosé

On sait pas quoi faire non plus
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Quand c comme ça on c pas quoi faire , on est comme impuisant. C malheureux
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