bonemine63 a écrit :Je vais l'explorer de plus près car je ne suis toujours pas persuadée que l'insuline puisse être "mise en route" par un simple impression...
De rien mimine
Moi j'y crois.
Je sais, pour être passée par de grandes difficultés psychologiques à quel point le corps peut être un réceptacle pour toutes sortes de maux, tout ceci dirigé par cette grosse masse gélatineuse qu'on a dans notre boite crânienne. Il n'y a rien de plus facile que de se détruire par culpabilité par exemple, tu peux me croire sur parole.
Je vais encore faire une comparaison avec un ordinateur, il m'arrive souvent de "mentir" à mon ordinateur, par exemple, l'ordinateur calcule que les cartouches d'encre sont vides (en général, il reste toujours un peu d'encre), l'imprimante ne fonctionne plus, je lui fais donc croire que je change les cartouches d'encre en soulevant seulement les anciennes cartouches, l'ordinateur y croit, transmet ses données à l'imprimante, et elle imprime de nouveau.
Pour l'ordinateur de mon fils, comme je ne lui laisse pas les cd de ses jeux car il aurait vite fait de les rendre inutilisables, je lui fais des images disques de ses jeux et je fais croire à l'ordinateur en montant les images qu'il y a un cd dans son lecteur, et le mensonge fonctionne aussi.
C'est un peu le même fonctionnement pour notre corps, tu vas me dire "on n'est pas des ordinateurs", dans un sens, si, le cerveau est évidemment plus complexe qu'un ordinateur, et il a des sentiments, des sensations, il réagit "humainement", c'est pour ça qu'il est encore plus facile de mentir à un cerveau qu'à un ordinateur.
Donc que le cerveau croit à du sucre quand on lui envoie une info d'un goût sucré, ça me parait carrément plausible.
Depuis 6 ans, du fait des difficultés que ma petite famille a rencontrées, et en essayant de comprendre comment Alexis voit les choses, je ne fais que réfléchir au fonctionnement du cerveau et de notre corps, j'ai même fait une introspection sur moi-même pour comprendre pourquoi je me détruisais involontairement, il est tellement facile de persuader mon cerveau, inconsciemment bien sûr, que je suis coupable, pour automatiquement déclencher une vengeance lente et destructrice (prise de poids, fatigue, neurasthénie, douleurs de dos, reins, ventre, migraines...), mais tellement incontrôlable, qu'une histoire de goût sucré qui déclencherait un diabète à long terme me parait de la gnognotte à côté.
Tu sais ce qui m'arrive systématiquement quand je suis à bout ? lumbago, c'est presque récurrent à chaque fois que je suis au bout du rouleau.
Tu connais l'expression "En avoir plein le dos" ?
Elle n'est pas seulement au sens figuré.
Non je n'ai pas nécessairement fait un effort particulier pour avoir mal au dos, j'en ai tout simplement plein le dos. C'est une simple info qui arrive à mon cerveau qui finit par "concrétiser" les choses, comme pour dire "stop".
C'est tout juste si on ne pourrait pas aussi dire qu'on a mal au cul, d'ailleurs un lumbago touche à la fois le dos, les reins et les fesses.
Et je ne suis pas la seule à l'avoir constaté, de nombreuses personnes autour de moi se tapent des lumbagos quand elles sont vraiment à bout, une simple douleur musculaire ? je n'en crois pas un mot.
C'est cette petite chose dans notre crâne qui gère tout, et tout se passe dans le domaine de l'inconscient et du subconscient, alors un simple petit faux sucre qui fait croire par la sensation "goût sucré" au cerveau qu'il s'agit bien de sucre, et déclenche alors une réaction en conséquence, ça me parait vraiment plus que probable