bonemine63 a écrit :
Quant à l' intolérance des ex-fumeurs, j'ai du mal à la comprendre: j'ai arrêté de fumer pendant plus de 8 mois et la fumée des autres ne m'a jamais dérangée pendant cette période. Sans doute parce que je n'étais pas "désintoxiquée" et que le goût du tabac me manquait.
Je ne supporte plus l'odeur de la cigarette
Par contre, je ne suis pas intolérante, mais comme je me suis arrêtée, j'évite d'aller respirer l'odeur de cigarette des autres
et bien entendu, il n'est plus autorisé de fumer chez moi, celui qui veut fumer peut le faire mais à la fenêtre de la loggia dans la cuisine.
C'est parfois un inconvénient quand une personne s'arrête de fumer si son entourage proche fume. Avec mon copain, pas de souci, il fume encore mais quand il est à la maison, il me dit qu'il a l'impression de ne plus fumer, il a donc moins envie et de ce fait en fume une à la fenêtre de temps en temps, et encore il ne la finit même pas. Par contre, ma soeur de Pin est venue en février, étant de grandes fumeuses toutes les 2, une fois les enfants couchés, on passait plusieurs heures à papoter, parfois une bonne partie de la nuit, s'allumant clope sur clope.
Mais cette fois-ci, comme je me suis arrêtée et que je ne peux plus supporter l'odeur, ça a fait baisser nos conversations, elle passait une partie de ses soirées à la loggia pour fumer, et comme je m'ennuyais en attendant, et bien je finissais par aller dodoter.
Dans le 2nd cas, on peut presque considérer la cigarette comme un handicap social.
Dans le 1er cas par contre, mon arrêt est bénéfique à mon copain qui du coup fume moins quand il est à la maison (à l'extérieur par contre, il doit fumer pas mal).
bonemine63 a écrit : Une chose m'interpelle comme on dit: début du siècle, il y avait plus de fumeurs que de fumeuses... Le tendance est aujourd'hui inverse: pourquoi???
Bonne question, mais je n'ai pas la réponse
Merci
dans mon état d'esprit actuel, je n'ai aucun risque de replonger.