a.a.k
Fanfic traduite, elle n’est pas à moi.
Traductrice : Aurélie (a.a.k)
Titre: L’Excuse
Sommaire: Angel fait des excuses à un vieil ami.
Auteur: Voleuse
Note: Se passe après "La Prophétie."
Dénégations: Ce ne sont pas mes jouets
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Traductrice : Aurélie (a.a.k)
Titre: L’Excuse
Sommaire: Angel fait des excuses à un vieil ami.
Auteur: Voleuse
Note: Se passe après "La Prophétie."
Dénégations: Ce ne sont pas mes jouets
Citation :
Je suis désolé.
Je n’ai jamais eu l’intention que ça arrive. Je n’ai jamais eu l’intention de ressentir cela.
Je n’ai jamais eu l’intention de l’aimer.
Diable, je ne suis même pas sûr que je l’aime. Mais après l’épanchement de Fred, je n’arrête pas de me demander... et si elle a raison? Et si je suis amoureux de Cordy?
Et si elle est amoureuse de moi?
C’est mal. Même après avoir parlé à Buffy, après avoir réalisé que nous ne pouvons plus revenir en arrière, jamais... j’ai l’impression de la trahir. Ca va si elle avance avec sa vie, mais pourquoi le devrais-je?
Je suis parti pour elle. Je vivais pour elle. Je lui ai brisé le cœur. Pourquoi ne puis-je pas y rester loyal?
Tu savais comment c’était. De laisser partir quelqu’un qu’on aime. De la sauver de ton côté sombre.
J’aurais dû mieux savoir que de recommencer le cycle à nouveau.
Je n’ai jamais eu l’intention que ça arrive.
Tu aurais été parfait pour elle, tu sais. Malgré sa superficialité, et son obsession avec son look, elle veut vraiment quelqu’un qui puisse regarder au-delà de sa beauté. Elle veut quelque qui la vénérera. Et autant que je l’adore, bon sang, je n’ai pas ça en moi. Je ne peux pas la voir comme ma déesse, ma muse. Elle n’est pas ma princesse.
C’est la tienne.
Je me souviens comme, après qu’elle ait quitté le bureau, nous nous asseyions à ma table, bavardant. Toi avec ton whisky, moi avec mon sang de porc. Je te dévoilais un peu plus sur Buffy, ou Drusilla, ou Darla. Pas toute l’histoire, juste les phrases rares.
Tu vantais Cordélia – pas seulement ses yeux, ses lèvres, ses jambes (bien que tu le faisais aussi). Tu t’extasiais sur une blague désinvolte qu’elle avait faite le matin. Tu récitais les plus petits lambeaux de conversation, comme si je ne les avais pas entendus avant.
Tu me disais comme tu l’aimais. Comme tu rêvais d’elle chaque nuit.
Comme tu mourrais pour elle.
Tu es mort pour elle.
J’ai tué pour elle.
Qui pense-tu l’as aimée le plus?
Je n’ai jamais eu l’intention que ça arrive.
Pardonne-moi.
Fin.
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