Arallu
Oui mais c'est ce que veulent les gens, voir ce genre de choses.
Alors est-ce qu'il faut condamner le public redemandeur ou les acteurs d'un film pathétique ?
Je veux dire, s'il n'y avait pas autant de gens pour s'intérésser à la vie privée des stars, il n'y aurait pas de paparazzi, bon, le cas de Britney est particulier puisqu'elle a pas réelement choisi d'être confrontée à la starification mais en règle générale c'est un choix délibéré avec les contraintes que ça implique, dont notamment celle-ci.
(euh perso je suis pour qu'on foute la paix aux vivants comme aux morts hein... )
Après, sprofiter d'une faiblesse pour tirer son épingle du jeu, c'est un peu l'esprit fondateur de notre civilisation, et ce qui arrive à Britney est une goutte dans l'océan de dégueulasseries qui peuplent le quotidien de notre chère Terre...
Je veux pas dire qu'on peut pas condamner les paparazzi, c'est sûr, on le peut, mais dans ce cas ça me semble juste de condamner aussi le lectorat qui nourrit la profession... ou alors on estime que l'offre créé la demande et que donc le phénomène est naturel et viable puisqu'effectivement l'offre trouve sa demande...
Ou bien je sais pas...
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Alors est-ce qu'il faut condamner le public redemandeur ou les acteurs d'un film pathétique ?
Je veux dire, s'il n'y avait pas autant de gens pour s'intérésser à la vie privée des stars, il n'y aurait pas de paparazzi, bon, le cas de Britney est particulier puisqu'elle a pas réelement choisi d'être confrontée à la starification mais en règle générale c'est un choix délibéré avec les contraintes que ça implique, dont notamment celle-ci.
(euh perso je suis pour qu'on foute la paix aux vivants comme aux morts hein... )
Après, sprofiter d'une faiblesse pour tirer son épingle du jeu, c'est un peu l'esprit fondateur de notre civilisation, et ce qui arrive à Britney est une goutte dans l'océan de dégueulasseries qui peuplent le quotidien de notre chère Terre...
Je veux pas dire qu'on peut pas condamner les paparazzi, c'est sûr, on le peut, mais dans ce cas ça me semble juste de condamner aussi le lectorat qui nourrit la profession... ou alors on estime que l'offre créé la demande et que donc le phénomène est naturel et viable puisqu'effectivement l'offre trouve sa demande...
Ou bien je sais pas...
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