EDForum

My life has changed so many ways
Since I got the chance to know you
Pain and sorrow can no longer be true
You juest helped me to throw them away

And if the sun refused to rise
My feelings would anyway remain shiny
My gestures quiet , my words and thoughts happy
And it will last untill my bright love dies

The rain and clouds don't scare me no more
Now even deep darkness can not blind me
You opened my eyes, my mind, the door
That kept me away from life's beauty

A teardrop from my eye
As a reflexion of my thoughts
Of all this happiness you brought
Me, to leave silence and I

Guess I've always been wrong
Thinking love could arise
From a road far too long
From a road full of cries

Looked at the sky, searching for something
Which could heal my heart and soul
Look at the sky, saw a bird singing
On a willow tree near the swimming pool

And this single vision, of "someone" happy
Only living, dancing, loving
Made me remind that nothing
Should make a young man worry

Je reprends la route de l'oubli
Parsemée de cris et de pleurs,
Légendes et mythes dont l'ampleur
Font tressaillir mon coeur allourdi

Quelle est donc ma destinée ?
Ne suis-je point à même,
De trouver ma douce fée,
Mettre fin à mon carême ?

Mettre fin à tant de pleurs,
De tristesse , d'agonie passée
De mettre fin à mon malheur
D'à tes cotés ma vie passer

Mon coeur est mort,
Mort de n'avoir pu t'atteindre
Et sa flamme de s'éteindre
Lorsque tout s'endort

La lumière fut, un temps sublime
La vie revint , pâle et fébrile
Pour replonger vers les abîmes
De ce foutu temps qui défile

Que n'as tu pris mon âme quand il était encore temps
De la sauver de la damnation
Je reste ici , seul et fragile
Dans l'espoir éternel de ma rédemption

A lover's walk through the years,
An everlasting fire.
A look through the eyes of my peers,
An everlasting wire.

T'is a game I never heed,
And I tried.
T'is A game I never succeed
In and cried.

Just know I never mean harm
To my friend,
I just can't control the warm'
Till the end...

Frères de sang
Une ombre s'approche de ma dépouille blafarde
Pour déposer sur mon cou nu un baiser langoureux
Puis vient me sussurer à l'oreille que je tarde
A enfin participer à ce doux jeu d'amoureux.

Certains affirment avoir courageusement dit Non!
Avoir refusé l'éventualité d'un marché
Avoir su en tout cas garder l'oeil sage de l'archer
Ceux-là sont morts et enterrés, ça, nous le devinons...

Pour ma part j'ai cédé à cet ignoble chantâge
Pour la perte de ce qu'Ils appellent mon humanité
Acquis l'éternelle beauté -perdu ma vanité-,
Ce que n'offraient pas les miens, une vie de partage:

Je les nomme "Frères" car comme moi ils survivent
Dans ce monde humain d'impitoyable cruauté,
A t-on déjà ouï dire d'un de nous faire sauter
Une ville, d'éliminer tout âme qui vive ?

D'âme certes nous n'en avons point trouvé l'usage
La bonne morale ne nous intéresse guère
Nous n'avons compris pourquoi déclencher une guerre
Pour inculquer ses idées, imposer ses usages

Ceux qui nous rejoignent le font de bonne volonté
Certains de leur choix de ne plus jamais vivre aveuglés
Surs de quitter Le Troupeau, ne plus avoir à beugler,
Ne plus jamais se cacher sous ce sourire éhonté

Je les nomme "Frères" car comme moi se nourissent
Du breuvage le plus doux, agréablement salé
De ce rouge qui colore vos joues, vous laisse aller
Ce qui vous rend faible, ces gouttes qui vous pourrissent...

La faucheuse, certes, est parfois indispensable
Un indice ? Quand Vous vous imaginez trop parfaits
Quand votre pseudo-raison vous devient dispensable
Quand nous rejoindre vous semble un idéal surfait

Mais très rares sont ceux que le sang répugne à tel point
Qu'ils préfèrent rester eternellement aveuglés
Par la main froide de la Mort doucement étranglés
Dans un dernier spasme de regret, en serrant les poings

Je les nomme "Frères" car comme moi ils sont très beaux
Et bien débarassés de leurs faiblesses Humaines.
Frères d'âme, planant dans les ombres tels des corbeaux
Frères de sang, patients jusqu'à la prochaine mène...

Déposer sur mon cou un baiser langoureux

A enfin participer à ce doux jeu d'amoureux.

Ennui de nuit profond, m'enlève toute lumière,
Vague lame de fond, noie mes pieuses prières,
Si nos enfants refont, nos tristes erreurs d'hier,
Si leur bonté se fond, si eux aussi se voient trop fiers,
Trainés par un syphon, peupleront les cimetières,
Dans de sombres tréfonds, près des geishas de gouttière...

Petite rivière, souvenir de bohème
Ta très sombre clarté, illumine mon coeur
Douce sonorité, qui éclipse mes peurs
Joyeux reflet d'hier, riant comme un poème

Un simple cours d'eau fier, mais un joyeux thème
Comme pour ecarter, nos actuels leurres
Nos actes dépités, porter une lueur
D'une sobre pierre, une brillante gemme

Sèche donc tes larmes, ouvre donc grand tes yeux
Prépare tes armes, ton sourire soyeux
La lutte commence: retrouver ton passé

Ne crains plus l'ennemi, fanfaron abusé
Affronte l'ennemi, rétrograde usé
Qui pour toujours pense: le progrès est assez...

Opium
Grand squelette frémissant
Tout drapé de noir profond,
Usant de porter au fond,
De pauvres corps vieillissant.

Dans ta main la grande Faux,
Libérant âmes perdues,
Délivrant notre cher dû,
Déliant le vrai du faux.

Je t'ai voulu, gémissant,
Implorant de tes griffons,
Qu'ils me mènent au plafond,
Vers la foi, l'attendrissant.

Mais, qui me faisait défaut,
Apparait une rose,
Enivrant là ma prose,
Me fait goûter au "pas-faux"

Et ce goût là est divin,
Un subtil éveil des sens,
Je touche enfin à l'essence,
La vie selon l'Ecrivain.

A jamais je suis soumis,
Ma douce, par tes charmes,
A jamais, suis sans arme,
Par Amor, mort je m'enfuis...

Un feu noir incandescant
Illumine mon regard
Autrefois doux et hagard,
Et le train toujours descend...

"Soit, Vis !!" me semblait décent,
Mais la vie telle un cigare
Cousumée sans crier gare...
Et le train toujours descend...

Vie, as-tu un si bas prix ?
Pour laisser tes enfants pris
Par le malheur et le froid ?

Ais-je tort d'être surpris ?
D'idéal me suis épris ?
Ou réel est cet effroi ?

Ce regard sombre et malsain
S'étend par delà l'étang,
S'étend par delà le temps,
Creuse le mal en ton sein...

Où sont donc les promis Saints,
Et leur maudite Terre ?
Aujourd'hui on enterre
Celui qui n'a de vaccin.

Celui là dont la douleur
Comme une terne couleur
Est assez pour l'égarer,

Celui qui n'a plus de fleur,
Celui noyé dans ses pleurs,
Plus personne n'est paré...

Un feu noir incandescant
Illumine mon regard ...

Ennui de nuit profond, m'enlève toute lumière,
Vague lame de fond, noie mes pieuses prières,
Si nos enfants refont, nos tristes erreurs d'hier,
Si leur bonté se fond, si eux aussi se voient trop fiers, 14
Trainés par un syphon, peupleront les cimetières,
Dans de sombres tréfonds, près des geishas de gouttière...13

Un(e) ami(e) s'enfuit vers l'horizon
Pour retrouver sa terre natale,
Nous replonger dans l'ennui fatal,
Nous ramener à notre prison...

Dans mes veines plante ce tison,
Met-un terme à cette vie banale,
Que mon sang colore un canal,
Accorde moi cette trahison...

Laisse moi rejoindre ce cher ciel
Que m'ôte ton si soudain départ,
Laisse moi regoûter à ce miel...

Oublie de moi pour l'éternité
Les sombres secrets dont j'ai fait part,
Laisse moi, vole vers ta cité...

Buffy's Death
You were our savior, everyone can tell
Bringing life, bringing love around you
Anyone of us was under your spell
Now you left, we find our Arallu... *

Can't you see our tears, flowing like a river
Not even cause our blood will soon color the grass
Nor even cause our shining eyes will soon be dead as glass
Only cause you're gone, and so our last shiver...

I wish they could forgive you for leaving them in pain
Now, I just want my body to give a bloody rain
And once I'll have killed the one who made you fell
The breath-life you gave me, I'll make it diseppear
And for eternity, enjoy to rest in Hell
Cause I way prefer taking Anubis' train
Than living in a world emptied of you again

*Arallu= enfer dans la mythologie babylonienne/assyrienne*

Pâles reflets sur l'eau du Soleil
Nul espoir de revoir le jour
Mes yeux restent fixés sur ce rêve sans pareil
Partager ta vie pour toujours...

Combien de temps giserais-je ici ?
En ce sombre pays,
Bercé par la douce utopie
Qu'un jour je serai lui...

Combien à souffrir en silence
Désesperant inutilement
Quand au dehors tout n'est qu'aisance,
La vie, les étoiles , le vent...

A quoi bon refuser le bonheur
Du monde qui s'ouvre à soi,
De l'ennivrant parfum des fleurs,
Pour quelle règle, quelle loi ?

Un coeur brisé ne meurt pas
Mais permet d'aimer plus par deux fois
Sèche donc tes pleurs et enfin vois
La vie, heureuse, qui s'offre à toi...

Mon souffle, ma vie
Mon espoir infini,
Sans toi plus d'espoir,
Plus de blanc, que du noir...

Les oiseaux s'effacent,
Les arbres s'enlacent,
Plus de voie vers le paradis,
Plus de souffle, plus de vie...

Plus de souffle, plus d'envie,
Plus de rêves, des phobies,
Plus aucune envie de voir
Rien qu'un océan de noir

J'aime bien même si mon anglais reste défaillant

Ceci dit t'as pas envie de nous en faire un dans le genre "les ptits zozios qui gazouillent gaiement dans la verte prairie caressée pas une douce alizée..."