Aède a écrit :C'est un peu court, jeune fille
allez, un effort ; un petit pavé comme on les aime tous
croustillante = qui me fait rire !
Donc, donc, donc…une anecdote croustillante = marrante…
Lire le best-of du forum m’a permis de me rappeler certaines choses, mais de là à se bidonner… à vous de voir. Je me lance.
Ah, oui ! Avant toute chose, je vous plante le contexte : à l’époque étudiante, sans ordinateur personnel, je suivais dans le cadre de ma formation, des cours d’informatique. Ma pratique dans ce domaine se limitait alors à aller sur Internet et à surfer…euh, non, en fait à m’y noyer ! Et j’oubliais, à imprimer ! En clair, euh… rien
.
Il est vite apparu que ce « niveau » était le plus bas de la classe. Heureusement le prof était un modèle de patience, avec un grand sens pédagogique et humoristique qui, continuellement nous répétait : « Si vous avez un problème, une difficulté à suivre, dites-le. Je suis là pour çà ».
OK, message reçu. Qui c’est qui a levé le plus la main… c’est moi
!! Et je vous pris de croire que cela m’a demandé un sacré effort, étant plutôt du genre à me faire discrète, très discrète.
Là ou çà devient marrant - enfin… pour moi, sur le coup, pas vraiment – c’est que j’ai posé la question de trop, la question stupide, que peut-être d’autres se sont posé un jour mais qui ne l’on pas forcément fait devant 20 personnes. C’était au moment d’enregistrer notre premier document Word… sur disquette. J’en avais déjà entendue parler, je vous rassure, je savais où çà se mettait mais…
Je demande, je demande pas… Ah, la, la !!
! Et bien, mes voisin(e)s ayant fait la manip’ plus rapide que l’éclair…et bien, je l’ai posé ma question, d’un air faussement dégagé :
« Euh…, s’il vous plait, dans quel sens, je dois insérer la disquette ? »
Je ne me rappèle pas bien la réaction du prof mais celles des autres élèves…20 paires d’yeux qui se tournent vers moi, des rires et autres gloussements que certains essayent d’étouffer et finalement, une camarade au sourire compatissant, qui de loin me montre le bon sens.
C’était il y a 5 ans. Depuis 4 ans, j’ai un ordinateur. Depuis 3, Internet. Depuis 2, un graveur CD et depuis 1, Photoshop et Illustrator, entre autres. Que j’ai et que j’utilise! Donc, c'est la preuve que çà va nettement mieux !
Mais je pense que j’aurais certainement 2, 3 p’tits bricoles – doux euphémisme…- à vous demander d’ici peu dans la rubrique Tests ! C’est pas pour rien si je n’ai pas encore de sign ni même d’avatar…
Pendant que j’y suis, je vous rajoute des petits bonus, pas vraiment désopilants non plus mais bon :
- J’ai passé et obtenu – laborieusement, au bout de la 4ème fois, et oui - mon permis de conduire un…
1er avril ! Ce n’est pas une blague, c’est écrit noir sur… rose, sur mon permis !
- Une anecdote qui ressort souvent lors des apéritifs dans ma famille et avec les amis, et généralement pas de ma part :
Lorsque j’étais toute petite (4/5 ans), j’avais pris l’habitude, en cachette, de boire le reste de champagne ou de mousseux – quelques gouttes généralement, je vous rassure - dans les flûtes après le départ des invités. Ces p’tites bulles qui chatouillent, çà m’amusait. Mais un jour, ma môman m’a prise sur le fait et l’affaire a été classé. Sauf que j’aime toujours le champagne/mousseux, mais avec modération, bien sûr. Faut dire qu’il ne me faut pas grand chose pour être pompette !
- Un mot d’enfant pour finir :
Lorsque j’étais toute petite (4/5 ans) – bah, oui, encore
– nous allions en vacances dans une maison à la campagne. Près de la maison, il y avait un étang qui grouillaient de grenouilles. Plus d’une fois, elles ont été au menu ! Un jour, intriguée, je regardais ma mère les préparer – elle leur enlevait la peau en tirant dessus
– et je lui ai dit un truc du genre, certainement pour m’éviter un traumatisme psychologique :
« Ah, oui, je comprends, tu leur enlève leur pyjama ! »
Bon, ben, voilà… J’ai rien de mieux, pour l’instant à proposer en magasin.
Vous remarquerez au passage ma bonne volonté à participer à cette tradition de l'anecdote... Cà mérite au moins quelques p'tits M&M's... bleus, forcément
!
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BUFFY: "[...] You're alive because I saw you change. Because I saw your penance. [...] You faced the monster inside of you and you fought back. You risked everything to be a better *man*. [...] And you can be. You are. You may not see it, but I do. I do. I believe in you, Spike." (S7E09 Never leave me)