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Bon le sujet du topic est très simple :

Est ce que vous avez déjà fait des petits boulots genre pour l'été ou même des jobs provisoires ?
En en ressortant, est ce que vous vous êtes dit "cool, j'y retournerai l'année prochaine !"
Comment étaient vos collègues avec vous ? Du genre "rah mince, va falloir passer du temps à lui expliquer les trucs" ou "cool ! du renfort !"

Est ce qu'ils vous ont apporté des choses ?
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ouaip, j'e ai eu, tout le temps où j'étais étudiante.

j'ai bossé en pharmacie, et ça se passait plus ou moins bien.
ma derni-re expérience m'a d'ailleurs bien dégoutée, c'est pour ça que je ne fais plus ça aujourd'hui.
mais j'y ai quand même passé de bons moments.

j'ai eu un job chez un certain dico du médicament. j'aimais bien, c'était fun, les gens étaient super adorables avec moi. quand je suis partie, ils m'ont fait un pot de départ, j'étais hyper émue.
par contre, je ne serai pas restée parce qu'ils avaient un peu tendance à se tirer dans les pates...
enfin, si j'avais rien eu et qu'on m'avait proposé d'y retourner, j'y serais sans doute allé

et toi ?
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Roh t'as de la chance Green, un pot gratos . Moi j'ai travaillé pendant une année scolaire (enfin presque) dans une école primaire. Je travaillais avec un enseignant, très vieille école, et on faisait faire leurs devoirs aux enfants. Cet enseignant était un con fini, il me prenait pour son larbin, il méprisait les enfants ("c'est un boulet lui") et voilà quoi. En plus de ça les enfants étaient turbulents et surtout un truc qui revient souvent : ingrats. C'est con mais j'aurais bien aimé un "merci" ou des trucs comme ça, tant quand je les aidais pour leur travail, que lorsque je les consolais parce qu'ils étaient tombés ou parce que machin veut plus être copain avec machine. Le boulot était une heure par jour 4 jours par semaine, et payait vraiment pas assez pour les contraintes qu'il imposait. J'ai démissioné un mois avant la fin de mon "contrat", et la plupart des enfants avaient l'air triste, enfin sauf une gamine que j'adorais (elle était très intelligente mais issue d'un milieu vraiment très pauvre), que j'avais aidé de nombreuses fois après avoir fini le boulot et quand j'ai dit que j'allais partir, elle a crié "ouaiis". Ca m'a un peu dégoutée. Et puis bon à part ça ils étaient franchement turbulents ! J'avais beaucoup de mal à les tenir...

Enfin je compte prendre un mi-temps à la rentrée, il y a une boite qui embauche sur Tours et qui paye très bien j'espère qu'ils m'embaucheront, c'est un truc d'aide au téléphone (pas du démarchage) donc c'est cool. Et puis sinon je vais commencer à faire les cafés, salons de thé, petits magasins pour être serveuse/vendeuse en plus pour ça faudrait que je présente bien, et moi et le maquillage, la mine "rayonnante" ...
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J'ai un petit boulot présentement et c'est l'enfer... Ça fait plus de 2 ans que je suis là-bas et c'est réellement l'enfer. J'aurais dû le quitter avant, surtout avec toute la négativité, la tristesse et les problèmes qu'il m'a apporté et les ennuis que j'ai eus là-bas. Mais bon...

Ce n'est pas parce que je suis partie depuis six mois que mes relations avec le we se sont arrangés
Tu peux pas mettre un "et toi" à côté d'un we
C'est bien parce que je t'aime bien que je passe outre

Ben moi, j'ai été Agent des services hospitaliers (en gros, c'est le technicien de surface des hôpitaux) dans un bloc opératoire. Fallait nettoyer ce qui était déjà propre (sauf quand y avait du sang) donc ça allait. Sauf qu'à l'époque, je trouvais que ça allait pas et que c'était bien chiant (surtout la première semaine). Par la suite, je me suis liée d'amitié avec l'équipe et on faisait des batailles d'eau sous l'oeil désaprobateur des chirurgien, c'était marrant.
Maintenant, c'était vraiment pas enrichissant ou quoi que ce soit. J'ai vu une opération, j'ai trouvé ça chiant pis vala.
Mes collègues étaient cools. Pis apprendre le boulot d'Agent des services hospitaliers, c'était assez simple donc j'étais plutôt considéré comme un renfort que comme une charge en plus.

Après, je passe sur tout ce qui est babysitting, raccompagne à leurs maisons de mômes, et aide aux devoirs.

Et là chuis aide soignante dans une maison de retraite (d'où le topic). Et je trouve ça assez dur. Déjà, j'ai super mal au dos parce que j'ai aucune technique pour soulever les patients. Ensuite, on est en sous effectif (c'est assez hallucinant). Pis presque toutes les personnes âgés sont démentes et ça fait mal au coeur. Sans parler de certains membres du personnels qui brutalisent les pensionnaires... (ils sont assez rares et c'est sans faire exprès mais ça fait mal au coeur quand même)
Bon comme chuis en plein dedans, je sais pas trop ce qu'il va m'apporter. Mais même si c'est dur et que j'y vais à reculons (surtout quand chuis du matin et que fô que je me lève à 5h30), je pense qu'une fois que je serais partie, les pensionnaires vont me manquer
Pis le personnel m'aide autant qu'il peut au vu de l'effectif réduit. Et j'ai l'impression de vraiment les aider même si je n'ai pas leur expérience.

EDIT (01 Aoû 2009 15:38) :
C'est quoi ton petit boulot Edona Scully ?

EDIT (01 Aoû 2009 15:43) :
Pis spécial pour ceux qui ont pas fait de petits boulots :
pourquoi vous n'en avez pas fait ? pas envi ? pas le temps ? pas l'occasion ?
Si vous aviez du en faire un, vous auriez préféré dans quel cadre : hôpital, école, avec des enfants, dans un supermarché ... ?
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J'ai jamais fait de petit boulot : j'avais pas de besoin d'argent absolu, donc pas envie de bouffer mes vacances

De toutes façons une fois les études finies, on bosse bien assez longtemps et avec trop peu de vacances

Heu, j'en sais rien... Aucun c'est possible ?

Sérieusement, en dehors du développement, ce que je fais actuellement (enfin là je fais du web mais il y a sans doute d'autres branches qui pourraient m'intéresser) y a environ rien qui me fait envie, donc bon...
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Ton topic tombe à pic
J'ai trouvé un boulot de caissier à Leader Price y'a 3 semaines et ça se passe bien ma foi. Le plus dur c'est le début, pas mal d'automatismes à prendre et tout, mais là ça va, et l'ambiance est bonne. Puis j'ai vraiment besoin de l'argent, donc ça motive.

Par contre, j'ai un moins bon souvenir de mon premier petit boulot, dans une cafétéria : c'était assez dur physiquement, les horaires étaient pas top, et y'avait quelque tensions... puis la restauration c'est bien connu pour être difficile, donc je préfère éviter maintenant.


J'avais donné des CV dans les hôpitaux, et c'est un peu ce que j'imaginais, pas facile, mais plus enrichissant que d'autres boulot. Je retenterai surement le coup une prochaine fois.
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C'est difficile pour moi d'en parler... Ne m'en veuillez pas si je vous donne que très peu d'informations, c'est réellement quelque chose qui est délicat pour moi. Je travaille dans une boulangerie, mais attention, ce n'est que pour payer mes études et gagner ma vie, juste pour le besoin monétaire uniquement. Ça fait un peu plus de 2 ans maintenant que je suis là-bas. Auparavant, je n'avais pas besoin de petits boulots car je n'en ressentais pas le besoin financier. Dès que j'ai besoin d'argent, je me prends un petit job, sinon bien je vis très bien sans et en étudiant. Il faut dire qu'ici, les études coûtent réellement cher! Avoir le choix, j'aurais voulu travailler dans un endroit comme une librairie ou des milieux intellectuels, mais il n'y a jamais eu de place libre pour que je puisse prendre un poste. Je me suis donc rabattue sur le seul endroit où on a voulu m'engager, une boulangerie. C'est un milieu où on travaille dur, on est sous le stress, sous la pression constamment, c'est payé au salaire minimum sans syndicat ni aucun avantages sociaux. Bon, je m'en fous de ça, je voulais juste gagner ma vie. L'enfer dont je décrivais dans mon message ne réside pas dans le travail lui-même en tant que tel. Non, c'est ce qui s'est passé au travail. Ce milieu baigne dans la corruption, si bien que j'y ai vécu du harcèlement.

Voilà, c'était très très léger et peu détaillé, mais c'est tout ce que je suis capable de dire pour l'instant, je suis désolée...

Jamais travaillé
J'en ai jamais vraiment ressenti le besoin (financier ou autre) et j'ai eu la flemme

Maintenant, je le regrette un peu en fait, parce que je pense que ça aurait été une expérience intéressante et enrichissante
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Ouaip, plutôt des stages obligatoires en vérité, pour des raisons explicitées par la suite.

En en ressortant je me suis à chaque fois dit : "Youpi, c'est fini."
Ce qui ne m'empêche pas cette année de retourner dans la même structure que celle où j'étais l'an dernier. La raison est simple: c'est payé et même plutôt bien pour un stage. Maintenant je me fiche plutôt pas mal d'où et d'avec qui je travaille, je suis de toute manière pas satisfait à la base parce que je ne suis pas dans un projet commun mais dans une structure où les décisions ne dépendent pas d'une consultation entre l'organe décisionnel et les techniciens.
Ca c'est pour le premier cas, dans le deuxième, je suis pas vraiment satisfait parce que si le cadre et les gens sont très agréables, je n'ai pas vu l'ombre d'un cahier des charges et j'ai pourtant un rapport à fournir; les méthodes employées datent et je ne peux pas mettre un grand coup de pied dans la fourmilière en dénigrant le travail de presque une vie pour certains sous prétexte que c'est "dépassé" et qu'effectivement ça montre ses limites (sinon je serais pas en stage là-bas). Du coup faut bricoler, et j'aime pas le rafistolage autant que l'architecture. Donc je navigue à vue, et je sais pas trop quoi rendre. Mais comme de toute manière l'avenir de la section informatique de là où je suis est pour le moins flou, ou plutôt clairement pas positif, je suis super motivé ! Ou pas...

Maintenant pour la dernière question, j'ai tendance , il faut croire, à pas concevoir souvent les choses comme mes collègues, hors, c'est pas moi qui l'emporte dans la décision puisque je pars à la fin de l'été, donc là aussi, si je suis plutôt enchanté par la perspective de donner un coup de main, il m'arrive d'être désespéré d'en voir l'usage. Mais encore une fois, c'est mon problème que de me sentir concerné par un truc qui n'a rien à voir avec moi. Donc finalement je me dis plus grand chose. "Take the money and run" ah ah.

Enfin pour conclure, je suis un grand mégalo. Personne ne m'apporte rien.
Non sérieusement, j'ai pas conscience d'apprendre quelque chose d'autre chose que de manuels ou de livres ou de documentations. Indirectement ça vient de quelqu'un, mais je dois pas avoir une capacité d'écoute suffisante pour apprendre des collègues. Ou alors je suis plus spécialisé qu'eux et je me concentre seulement sur ma sphère parce que j'ai conscience de ne pas pouvoir intégrer le reste dans le temps qui m'est imparti. Ou alors je suis enthousiasmé par des idées qui viennent et je perds la moitié du discours en route.
En tout cas, si on m'a sûrement apporté des choses, j'en ai pas directement conscience.
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Je pensais que tout le monde avait déjà eu des petits boulots dans sa jeunesse, je suis déçue En tout cas si je dois élever un jour un ado, je l'enverrai se trouver un boulot d'été à grands coups de pied au cul

J'ai été babysitter à partir de l'âge de 12 ans jusqu'à ce que je fasse une overdose de morveux, est-ce que ça compte ?
Sinon j'étais quand même une ado relativement choyée niveau petits boulots, j'ai bien sûr passé par la case "caissière", mais pas longtemps. J'ai bossé dans un musée par un bel été où je tardais à me dénicher un job, le directeur a eu un coup de foudre et du coup il m'a confié de belles missions et des responsabilités qui ont ébranlé mon petit niveau d'estime de soi Il m'a rappelé l'année suivante, et ainsi de suite jusqu'à ce que j'en fasse une overdose, mais ce fut une merveilleuse expérience, et je me sentais plus cool que mes copines qui vendaient des vêtements (ou des hotdogs pour les plus chanceuses )
Ensuite j'ai voulu tenter dans l'hôtellerie, la nuit, en ayant cours le jour, j'ai adoré aussi, et pis c'est tout comme petit boulot puisqu'après j'étais une grande fille

Les collègues, je sais pas, j'ai jamais vraiment eu de problèmes à ce niveau mais encore là, je considère que j'ai été choyée

Et si je dis que je forcerais un ado sous ma responsabilité à se mouvoir le popotin et à aller bosser, ce serait pas seulement pour le faire chier (), mais pour l'aider à justement développer le sentiment de responsabilité, qu'il se sente utile (ou pas) dans la vie, valorisé et puis un boulot, ça force souvent à canaliser les mauvaises énergies qui traversent parfois les grands corps efflanqués
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je suis du même avis que topi : je trouve ça très bien pour un jeune d'avoir un petit boulot.
ça permet de découvrir le monde du travail, la valeur de l'argent, etc.
et de rencontrer d'autres gens, de s'ouvrir un peu.

finalement, je ne trouve pas qu'être assez aisé financièrement pour se passer d'un job d'été soit une chance.
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On élèvera un ado ensemble si tu veux

C'est vrai qu'apprendre la valeur de l'argent, dans une société comme celle d'aujourd'hui, c'est pas rien
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si tu veux

non, mais quand je vois certains de mes collègues, qui sont nés avec une cuiller d'argent dans la bouche, qui n'ont jamais eu à bosser pour payer leurs études, et quand j'entend certaines réflexions qu'ils sont capables de faire...
il n'empèche que je préfère être àma place qu'à la leur.
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Bwarf, je suis forcément pas forcément d'accord sauf à définir la notion d'"apprendre la valeur de l'argent"...
Mais c'est un autre sujet.

Sinon ouais les petits boulots c'est bien, ça permet de se rendre compte qu'on aimerait pas faire ça éternellement entre autres choses...
Et de réaliser les différences entre le monde du travail et celui de l'instruction... d'ailleurs à ce propos, je me demandais si ça ne chagrinait personne de voir un tel écart entre des modèles théoriques et des modèles pratiques parce que les contraintes à gérer ne sont pas les mêmes (avancement plus rapide au détriment de la réflexion voire de la qualité, meilleure/ plus mauvaise ambiance en raison de la compétition (ou non), approche plus riche de par la variété des éléments à prendre en compte... etc)
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Ben moi ça me désespère plus que ça ne me chagrine Je pense que ça déçoit tout le monde, comment faire autrement, on a tous des attentes et le modèle théorique est trop souvent idéalisé...

C'est aussi possible que je n'ai absolument rien compris à ta phrase parce que tu y as employé des mots à plus de deux syllabes
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Ben moi ça me chagrine plus que ça me déçoit, parce que tu as très bien compris ce que je voulais dire. (comment ça y a pas de lien ? j'économise des mots )
Parce que le modèle théorique est à mon sens (et bien entendu dans le domaine que je connais, les autres, je sais pas) plutôt extrêmement viable, et que les seules raisons pour lesquelles il n'est pas mis en place est qu'il nécessite une mise à jour fréquente des compétences (se tenir au courant quoi) et une période conséquente non directement productive... Du coup vaut mieux vite présenter quelque chose que de bien penser un système, qui sera(it) plus stable et plus efficace à terme.
A noter qu'à mon sens, la vision à court terme est néfaste dans à peu près tous les domaines et beaucoup trop présente (et donc notamment dans le monde du travail).

Maintenant ça s'applique pas forcément aux petits boulots donc je me tais.
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je plussoie largement avec vous.

et l'intéret du petit boulot, dans ce contexte, c'est de se rendre compte très vite qu'entre la théorie et le pratique il y a un sacré fossé.
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Moi, j'avais une famille assée aisée financièrement pour me passer du travail étant jeune. Anyway, d'où je viens, les jeunes ne travaillent pas, il n'y a rien pour eux. J'ai vu la différence dans mon village entre les jeunes qui ne travaillent pas car (d'où je viens, on ne travaille pas étant ados) et la différence avec ici, une petite ville, où tous les jeunes travaillent. Et, je vais vous surprendre mais ceux qui connaissent moins la valeur de l'argent sont les jeunes qui travaillent. Pourquoi? Parce qu'ils ne font que dépenser... Au lieu d'étudier ou de se reposer ou tout simplement d'avoir une jeunesse "normale" ils préfèrent travailler pour claquer leur paye dans l'alcool, la drogue, les dépenses exorbitantes inutiles, etc. Après, ils finissent avec un boulot à vie à l'épicerie au salaire minimum, corrompus par les travailleurs là-bas qui les découragent sur la "non-nécessité" de l'école ou alors malades parce qu'ils ont voulu faire des études en même temps. Les jeunes qui ne peuvent pas travailler et qui n'ont pas d'argent voient bien que ça coûte cher et quand ils travaillent, ils font plus attention. Les jeunes qui travaillent vivent chez leurs parents, aucun sens des responsabilités. Nous, on a dû partir très jeunes pour avoir un avenir. Tout le fossé se trouve là car on est plus mature. Bon, il y a des exceptions, mais à 95%, ça s'est passé comme ça. Jamais, je ne prônerai le travail chez la jeunesse! A moins que ces jeunes refusent d'étudier... Je me suis immergée dans les 2 milieux, j'ai pu constater les différences. C'est flagrant! Ici, j'exclus les jeunes adultes qui doivent travailler pour étudier, ce n'est pas pareil, c'est un dur sacrifice pour un avenir.

Moi chuis assez d'accord avec Edona Scully.

Mes parents ont toujours eu les moyens de financer mes études donc l'argent que je gagne (et c'est une belle somme), il est pour moi.
Donc je dirais que dans mon cas, le petit boulot entraîne plutôt le contraire. Perdre la valeur de l'argent qui se traduit d'ailleurs par une moindre hésitation lors d'un achat. (fort heureusement, je suis une vraie fourmi, j'aurais plutôt tendance à trop économiser)
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